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À Paulette,
Toujours si vivante dans mon cœur,

Il est finalement venu ! Fatigué et désespéré d’avoir mal au dos depuis des années, un homme de 43 ans originaire de la région de Wiltz, a décidé de prendre rendez-vous après des années d’hésitation. Sa mère [Paulette] et sa sœur étaient des patientes convaincues et des ambassadeurs des bienfaits de la Biorésonance depuis 2015. Pourtant, ils n’ont jamais réussi à le convaincre, peut-être parce que l’homme travaillé en milieu hospitalier au CHL, et que dans son mental, si le « docteur » n’avait pas trouvé, malgré des IRM, Scanner… alors personne ne pourrait résoudre son problème. Il devait vivre avec ses douleurs, c’était probablement une question de karma !

Le 11 janvier 2020, l’homme sans le savoir, avait rendez-vous avec son destin, et ce rendez-vous allait changer sa vision des thérapies, et plus largement sa vie. Inutile de nous présenter, nous nous connaissons lui et moi, je procède donc directement à la mesure énergétique, l’homme est un peu nerveux, il regarde avec attention, le déroulement, les yeux fixés sur le téléviseur.

Fin de la mesure, je regarde l’homme est lui dit : « Ton mal de dos, vient de ton alimentation ou de certains aliments qui perturbent ta digestion et tes niveaux inflammatoires, je vais régler cela, mais toi tu devras corriger ta façon de vivre en fonction des corrections apportées » L’homme me regarda avec des yeux exorbités, je parlais chinois ! peut-être même le « mandarin du Nord ». Si je voulais gagner sa confiance et réussir, Il me fallait frapper juste, fort, l’homme attendait une preuve et pas simplement des paroles en l’air.

Fini les blablas, place à l’action !

Je décide d’employer ma méthode T.G.V. (Traitement à Grande Vitesse), je fais trois points de Biorésonance (j’aime la symbolique du chiffre 3) et je m’adresse à mon compagnon incrédule du jour et je lui dis : « Tu as encore mal au dos ? ».

À cet instant, l’homme regarde son épouse qui l’accompagnait et dit « Plus rien ! wahnsinnig [traduction en français : fou] ! ». Nous avons terminé la séance, par un rééquilibrage global, l’homme parlait une nouvelle langue : « le wahnsinnig », il a prononcé ce mot au moins 50 fois… Finalement le « wahnsinnig » c’était mieux que le mandarin du nord !