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La semaine dernière, un homme se présente à mon cabinet, nous avions pris rendez-vous au préalable, je lui demande de remplir le formulaire qui précise entre autres les cas dans lesquels il est impossible de faire de la Biorésonance. L’homme remplit le formulaire avec son nom, son prénom, sa date de naissance et son adresse. Les formalités administratives terminées, il peut prendre place dans le siège prévu à cet effet. C’est un rendez-vous tout à fait normal a priori… Mais les apparences sont parfois trompeuses !

Je lance le programme de mesure énergétique (Metatron Hospital), première planche… et une réaction immédiate de ma part.

« Monsieur, il y a dans votre famille, un secret ! Un secret qui traverse les générations ! Un secret lié à une spoliation d’héritage ! Je vais même plus loin, certaines personnes se sont donné la mort à cause de ce secret de famille… »

L’homme s’écroule littéralement ! L’atmosphère dans la pièce vient de changer !

J’ajoute : « Votre maman a perdu un enfant dans des conditions peu banales… Si je ne me trompe pas, vous avez perdu un frère… un suicide, et depuis vous êtes suivi par un médecin pour des dépressions, des angoisses et des crises de panique »

L’homme s’explique au bord des larmes : « Je ne sais pas où vous aller chercher tout çà ! Mais tout est juste ! La seule chose, que je ne comprends pas, c’est le lien avec ce secret de famille ! Pouvez-vous m’éclairer ? »

« Connaissez-vous le terme “récurrence“ ? Une récurrence est un phénomène qui se répète ! De générations en génération, il y a un phénomène qui se répète dans votre famille, on pourrait presque dire qu’il se transmet génétiquement (c’est le concept même de l’épigénétique). Au départ, une histoire des plus banale, un conflit au moment du partage d’un héritage probablement une maison, une ferme… Si la répartition n’est pas équitable, il y a une partie « gagnante et des « perdants ». Dans les générations suivantes, cette « injustice » prend d’autres formes, comme par exemple : la difficulté à avoir des enfants (une descendance), une instabilité financière des descendants (l’argent coule, mais ne reste pas), une possibilité de décès accidentelle (le suicide en fait partie), et la liste est très longue…Derrière toute idée de malédiction ou de sentiment de malchance se cache un principe de récurrence ! »

Grâce à la psychogénéalogie, on peut mettre un terme à cette récurrence. Mais la première chose à faire, c’est d’identifier avec précision, le lien invisible, qui existe entre toutes ces personnes d’une même famille (c’est ce qu’on appelle le génosociogramme), et de chercher l’élément déclencheur, le point Alpha, le début. L’identification du commencement doit être le premier objectif.

« Les souffrances familiales, comme les anneaux d’une chaîne, se répètent de génération en génération jusqu’à ce qu’un descendant – dans ce cas, peut-être vous – en prenne conscience et transforme sa malédiction en bénédiction.» Alejandro Jodorowsky

Biorésonance Center Luxembourg
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