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Très récemment, une jeune femme, de moins de trente ans, est venue en visite, sur conseil d’une amie, pour un problème qui la préoccupe depuis un certain temps et pour lequel elle n’a malheureusement pas trouvé de solution. Nous avons fait le bilan énergétique et je dois dire que rien, ou presque n’expliquait sa venue (en tout cas du côté pathologique pur). Certes, elle avait un léger dysfonctionnement intestinal, mais c’était probablement tout à fait momentané. Je lui pose donc la question : « Madame, pourquoi êtes-vous venue me consulter ? »

Ma patiente s’explique : « Je suis venue vous voir, parce que depuis 5 ans, je n’ai plus de règles menstruelles, je souffre d’aménorrhée. J’ai effectué une batterie d’examens médicaux en tout genre, rien ! Tout est normal, alors les médecins m’ont dit que c’était le Stress ! Mais les mois passent et rien ne change ! J’ai pris rendez-vous chez vous, pour voir si vous pouviez m’aider sur ce sujet »

« La bonne nouvelle c’est que les médecins n’ont pas trouvé de cause à votre aménorrhée ! Le stress, c’est un peu vague, qui n’a pas de stress aujourd’hui (surtout en ce moment). Je vais consulter la partie psychoémotionnelle de la mesure, pour voir ce que mon dispositif à trouvé ! Mon dispositif me parle de “JALOUSIE“, avez-vous rompu avec un partenaire, pour cause de jalousie ? »

Elle me répond : « J’avais effectivement une relation qui s’est terminée, il y a environ 5 ans. Mon partenaire avait fait un autre choix sentimental. Mais j’avais déjà ce problème avant… Même si pendant une période très courte, juste avant la rupture, la situation « menstruelle » était revenue une ou deux fois à la normale. »

J’ajoute : « Ne brûlons pas les étapes, restons concentrés sur ce sentiment de JALOUSIE. Aviez-vous déjà ressenti cette même impression avant ? »

Elle me répond : « Oui et non, c’est-à-dire plus jeune, mais ce n’était pas la même chose, il m’est arrivé d’être jalouse, d’une copine à l’école, parce qu’elle préférait une autre fille de la classe que moi, mais c’est des trucs d’enfants (ce n’est pas vraiment la même chose) »

Je l’interromps et lui dis : « Restez avec moi sur ce sujet, de la jalousie, avant cette histoire de copine à l’école, aviez-vous déjà eu ce sentiment, plus jeune, vous étiez peut-être un peu jalouse de votre frère ou de votre sœur ? Quand vous étiez plus petite ? Dites-moi ? »

Son regard en un instant se rempli de larmes, de grosses larmes coulent sur ses joues, son masque ressemble à un buvard trempé. Je venais de toucher un point sensible…

« Mes parents ont 2 enfants. J’ai toujours pensé que mes parents préféraient mon frère, il est l’ainé, moi je suis la cadette. Il a toujours tout réussi, il connaissait beaucoup plus de choses, sur beaucoup de sujets… Il était la fierté incarnée de mes parents. Oui, c’est vrai, j’étais jalouse de lui, ou plutôt de l’attention que lui portaient mes parents … et je le suis encore aujourd'hui »

J’ajoute : « Oui, vous auriez voulu être lui ! Un garçon ! »

Je poursuis : « Et un garçon n’a pas de règles menstruelles ! Mademoiselle ce n’est pas le stress qui a bloqué votre cycle (menstruelle), mais un sentiment de jalousie très ancien, qui est né dans votre prime enfance. Un sentiment de jalousie que vous avez construit sur la différence d’attention (ressentie) que portaient vos parents à leurs enfants. Et qui s’est réactivé lorsque votre partenaire en a préféré une autre ! Alors vous avez décidé de devenir ce que vous avez toujours envié : « symboliquement » un garçon (comme votre frère), pour attirer l’attention de papa et maman ! C’est en tout cas ce que mon dispositif a décelé ! (Incroyable ce Métatron)»

L’identification et la mise en lumière d’un traumatisme de l’enfance sont les premiers pas vers la guérison !

Biorésonance Center Luxembourg
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